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Une dentiste devra verser 23 000 $ à son ex-hygiéniste dentaire

Une dentiste devra payer plus de 23 000 $ à son ancienne hygiéniste dentaire, qui travaillait en même temps pour un autre cabinet, après que le Tribunal administratif du travail eut annulé son congédiement. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories : autoclave dentaire et fauteuil dentaire. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.

 

 

Le tribunal avait déjà jugé, en octobre dernier, que le départ de l’hygiéniste dentaire Marie-Josée Bédard était en fait un congédiement sans cause juste et suffisante. Et dans un jugement qu’il vient de rendre, il fixe à 23 154 $ l’indemnité que la Dre Josée Gaudet devra lui verser pour perte de salaire, perte de son emploi, congé annuel et intérêts.

 

Habituellement, le tribunal ordonne la réintégration en emploi après un congédiement qu’il juste sans cause juste et suffisante. Mais à cause de la nature de leur travail, en étroite collaboration, il estime que c’est impossible d’ordonner la réintégration en emploi dans ce cas-ci.

 

L’hygiéniste travaillait de 12 à 14 heures pour cette dentiste et détenait un emploi similaire dans un autre cabinet dentaire. La Dre Gaudet aurait reproché à l’hygiéniste de servir les intérêts de l’autre dentiste à son détriment, en plus de les comparer et de la critiquer sous différents aspects.

 

«À l’évidence, la preuve révèle l’existence d’une relation de travail complexe entre la plaignante et Dre Gaudet, mue par des tensions et des frustrations de part et d’autre, l’une comme l’autre se sentant clairement malmenée par sa vis-à-vis», a écrit la juge administrative Anick Chainey.

 

Leur relation s’était détériorée au point où en mai 2015, la plaignante avait rédigé une lettre de démission. Mais les deux femmes avaient fini par s’entendre et la plaignante était restée à son emploi.

 

«Il est manifeste que, dans un tel contexte, Dre Gaudet a vu la démission écrite de la plaignante comme une porte de sortie et une façon de s’extirper de cette situation qu’elle percevait comme étant devenue impossible à gérer», ajoute la juge administrative.

 

«Cependant, elle ne pouvait agir de la sorte et brandir un document répudié par les deux parties trois mois plus tôt, d’autant plus qu’il lui est impossible de nier avoir décidé de garder la plaignante à son emploi», a-t-elle conclu.

 

 

 

 

 

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18/10/2018
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