Ils créent la brosse qui lave les dents en 10 secondes
Beaucoup en rêvent. Pouvoir se brosser les dents en 10 secondes et de manière efficace. C’est ce que propose l’Y-Brush, un système lancé par l’entreprise lyonnaise FasTeesH. Deux minutes, c’est le temps du brossage de dents préconisé. Mais qui compte réellement les secondes ? Et qui n’a pas déjà carrément zappé le brossage ? C’est pour remédier à cela qu’une entreprise lyonnaise a lancé l’Y-Brush. Disponibles en prévente sur le site de la marque pour 67 €, les premières brosses à dents arriveront au printemps 2019. En une semaine, près de 1 000 Y-brush ont déjà été commandées. Athenadental est une Société de distribution de produits dentaires en possession de plus de 5000 produits de grandes marques telles que NSK, JINME, TOSI, COXO etc. Ainsi que de diverses catégories : turbine dentaire et contre-angle dentaire. Tous les jours l’équipe d’Athenadental.fr s’efforce à dénicher de nouveaux produits dentaires pour répondre à vos besoins.
En pratique c’est une sorte de dentier posé sur un petit boîtier électrique. Cinq secondes en haut, cinq secondes en bas suffiraient pour un brossage optimal. À l’intérieur du dentier, des poils en nylon sont mis en mouvement comme pour une brosse à dents électrique. Alors qu’est ce que ça change ? Quelles sont les caractéristiques de loupe binoculaire FD-503G ?
Le calcul de FasTeesH est simple. Avec une brosse à dents classique et en deux minutes de brossage, un individu passe quatre secondes sur chaque dent. Avec Y-Brush, toute une arcade est nettoyée simultanément pour un temps par dent qui reste identique. Le problème d’un mauvais geste est également réglé. Le cofondateur Benjamin Cohen précise qu’« une brosse à dents classique doit être maintenue à 45 degrés pour être efficace. Avec Y-Brush, les poils sont en permanence à cet angle ».
L’outil serait donc particulièrement adapté aux personnes dépendantes. Les enfants, mais aussi les personnes âgées pour qui le geste est parfois difficile à réaliser. Une version adaptée du produit est d’ailleurs déjà utilisée dans certaines cliniques et dans des hôpitaux privés pour aider les personnes dépendantes. Pour cela, Y-Brush a déjà passé plusieurs tests. Le premier pour le confort notamment. « Il ne fallait surtout pas que le produit soit désagréable en bouche, ou qu’il déclenche de réflexes nauséeux », explique Benjamin Cohen. Puis, pour l’efficacité. La marque se lance maintenant dans une étude clinique sur un an.
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